jeudi 29 septembre 2011

Pendant 48 heures, un Anglais va jouer les plantes vertes


Un scientifique anglais mène une expérience des plus originales pour démontrer l'importance de la production d'oxygène des végétaux pour les humains.
Les Anglais ont toujours les idées les plus folles. Notre savant fou préféré du moment est le Dr Iain Stewart, professeur de géosciences à l’université de Plymouth en Angleterre. Bien décidé à démontrer l’importance des plantes pour notre survie, il s’est enfermé jeudi soir pour 48h dans une boîte transparente et hermétique de 30m3, avec pour seul oxygène celui fourni par 160 plantes différentes.
C’est la première fois que cette expérience est menée avec un humain. Les plantes ont été choisies spécialement pour leur capacité à produire de l’oxygène rapidement. Parmi elles, une variété de maïs et de bananier. Des lampes simulant la lumière solaire se chargeront d’éclairer jour et nuit la boîte pour favoriser la photosynthèse, ce processus qui permet aux plantes d’absorber le CO2 et de le transformer en oxygène. L’oxygène à l’intérieur du caisson a été réduit de moitié avant l’entrée de son occupant.


Surveillé constamment par les scientifiques du parc « Eden Project » (en Cornouailles, à l’extrême sud-ouest du pays), où il s’est installé, notre cobaye ne risque rien. Il pourra dormir dans un hamac, travailler sur son ordinateur et même se dégourdir les jambes sur un vélo d’appartement. Présentateur pour l’émission « Voyages au centre de la terre » de la BBC, Iain Stewart sera filmé par la chaîne et apparaîtra au sein d’une série documentaire sur le rôle des végétaux dans la formation de la Terre diffusée en mars prochain.


Cette expérience pourrait permettre de créer à terme de véritables terrariums pour humain et - pourquoi pas - servir à de futures explorations sur Mars. Qui sait ? Iain Stewart sera peut être volontaire.

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A partir du 27 septembre, la Terre nous fera crédit



A la fin du mois, nous aurons consommé la totalité des ressources que la nature génère en une année et entrerons en « déficit écologique ». Or, cela fait plus de trente ans que les humains sont à découvert.

Il n’y a pas que la Grèce qui vit au dessus de ses moyens. En fait, c’est toute l’humanité. Sauf qu’ici, il n’est pas question d’argent, mais des ressources de notre bonne vieille Terre. En 10 mois, l’humanité a épuisé un an de ressources naturelles. Une date symbolique, le 27 septembre, a été fixée par l’organisation américaine Global Footprint Network pour marquer comme tous les ans ce passage. Au-delà, nous serons donc en « déficit » écologique, et nous devrons puiser dans des stocks déjà bien affaiblis. Notre planète doit en effet se régénérer chaque année. Mais nous lui en demandons toujours plus.
L’humanité a entamé son crédit dans les années 1970, selon l’organisation spécialiste de l’empreinte écologique de l’humanité. Depuis, avec l’augmentation de la population et de la consommation, la dette se creuse. Résultat : nous aurons bientôt besoin de l’équivalent de deux planètes pour assouvir nos besoins. Ce chiffre reste une moyenne, car le déséquilibre est grand entre les pays. Selon un rapport de WWF en 2010, les Etats-Unis consommeraient quatre fois plus de ressources que l’Inde.
Le hic c’est que nous n’avons qu’une Terre sous nos pieds. Et les agios de mère nature grossissent chaque année. Le changement climatique, résultat de notre production excessive de gaz à effet de serre, la déforestation, l’effondrement du stock de poissons, les rapides disparitions d’espèces animales, en sont les signes les plus flagrants.
Cette surconsommation de la nature, « c’est comme si l’on dépensait son salaire annuel trois mois avant la fin de l’année, et qu’on grignotait ses économies année après année », estime le président de Global Footprint Network, Mathis Wackernagel, dans un communiqué. Une seule solution pour l’humanité : régler sa dette. Or, sur ce terrain-là, personne ne peut l’aider à renflouer ses caisses.

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Demain, des voitures électriques rechargeables à la pompe ?



Des chercheurs américains ont inventé une nouvelle batterie. Alimentée par un liquide noirâtre, elle se recharge comme on remplit le réservoir d'une voiture thermique. Elle est aussi moins lourde et coûteuse que les batteries électriques traditionnelles.

C’est un liquide noir, gluant, qui peut recharger en énergie une voiture... électrique comme on remplit d’essence sa cousine thermique. Son nom « le Cambridge crude » ou « cambridge brut ». Non il ne s’agit pas de pétrole mais d’une nouvelle mixture potentiellement révolutionnaire et venue des États-Unis. Un mélange né dans la tête de chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT), situé dans la ville américaine de Cambridge, et à la base d’un nouveau modèle de batterie.

En clair, les deux éléments de charge de cette batterie nouvelle (les anodes et cathodes) ne sont plus fixes mais mélangés et en suspension dans une substance conductrice. Le tout prend une forme boueuse et noirâtre. Le mélange est pompé à travers un système générant l’énergie par le contact entre les anodes et les cathodes. Une fois vidé de son énergie, le mélange noir passe dans une autre partie du réservoir, prêt à être rechargé plus tard.

Le nouveau design devrait permettre de réduire la taille et le coût des batteries actuelles, lourdes et chères. De quoi rendre compétitif le modèle électrique. « Les 2/3 du volume de la batterie dans une Nissan Leaf, par exemple, sont occupés par les éléments de la structure même et ne délivrent aucune énergie », selon le journal NewScientist. Des éléments qui sont par ailleurs très coûteux. Le MIT affirme ainsi que la taille et le coût de leur modèle seraient divisés par deux, tout en délivrant une quantité d’énergie supérieure aux batteries classiques. Autre caractéristique : dans la batterie, les deux fonctions (stocker l’énergie et la décharger quand il faut) sont séparées physiquement, contrairement aux batteries utilisées aujourd’hui. Ce qui serait plus efficace.

Faire le plein avec sa voiture électrique comme avec une voiture conventionnelle pourrait bien ainsi devenir réel. La batterie serait rechargeable de trois façons différentes : soit en réapprovisionnant la pile en liquide après avoir enlevé le mélange usagé, en troquant le réservoir contenant le liquide contre un réservoir doté d’un liquide « propre » ou bien en rechargeant le liquide usagé avec du courant électrique. Le MIT estime que la batterie pourrait tenir plus de 300 kilomètres avec une charge. Enfin, celle-ci pourrait permettre de stocker de l’électricité, rendant ainsi des technologies comme le solaire et l’éolien, aujourd’hui critiquées pour leur intermittence, plus fiables.

Il faudra cependant des années avant de pouvoir développer un modèle compétitif et encore plusieurs avant d’aller recharger sa voiture électrique à la pompe. Le professeur Yet-Ming Chiang, qui dirige les recherches au MIT, prévoit un prototype dès 2013.

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lundi 26 septembre 2011

Les espaces verts anti carbone



Les espaces urbains sont réputés être à l’origine de l’émission des deux tiers des gaz à effet de serre (GES) d’origine anthropique environ.

Raison pour laquelle de nombreuses villes plantent des arbres, dans l’espoir de stocker une fraction du carbone générés par leurs activités.

Jusqu’à présent, personne n’avait réellement évalué l’importance de ce puits de carbone urbain. C’est désormais chose faite.

En couplant des images prises par satellite à des observations réalisées sur le terrain, Zoe Davies a quantifié précisément les surfaces plantées de la ville de Leicester.

Passée la détermination des espèces, la chercheuse de l’université du Kent a estimé ensuite les quantités de carbone stockées, chaque année, par les arbres, mais aussi par les plantations des balcons ou le sacro-saint green des golfs.

Publié dans le Journal of Applied Ecology, le résultat des courses est impressionnant. Les sols des espaces verts de la cité des Midlands de l’est contiennent 231.000 tonnes de carbone, soit 3,16 kg de carbone par mètre carré.
De quoi faire réfléchir…

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La pollution de l'air fait 2 millions de morts par an



Chaque année dans le monde, plus de 2 millions de décès sont imputables à la pollution de l'air, selon une étude publiée ce lundi 26 septembre par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Sur ces 2 millions, 1,3 million décèdent pour avoir trop respiré de pollutions urbaines.

«L'air pollué peut pénétrer dans les poumons, entrer dans la circulation sanguine et provoquer des cardiopathies, des cancers du poumon, des cas d'asthme et des infections respiratoires», indique l'OMS, qui a compilé les données sur la qualité de l'air, fournies par 1.100 villes dans 91 pays. Les effets les plus graves de la pollution de l'air s'observent chez les personnes déjà malades, les enfants et les personnes âgées.

Dans de nombreuses villes, indique Maria Neira, médecin et directrice du département Santé publique et environnement de l'OMS, «la pollution atmosphérique atteint des niveaux dangereux pour la santé».

Les zones les plus dangereuses sont situées dans les pays à croissance rapide, comme l'Inde et la Chine. Dans certaines métropoles, indique l'OMS qui se refuse à dresser un classement, la concentration des particules fines est jusqu'à 15 fois supérieure au seuil maximum fixé par l'OMS. Cette pollution provient surtout de sources de combustion, comme les centrales électriques et les véhicules à moteur.

Pour Maria Neira, si les pays contrôlent et gèrent correctement l'environnement, «nous pouvons réduire considérablement le nombre de gens qui souffrent d'affections respiratoires et cardiaques et de cancer du poumon». Pour mémoire, 80 des 91 pays ayant transmis des informations à l'institution onusienne ne respectent pas les valeurs de référence de l'organisation internationale en matière de pollution de l'air.
«De nombreux pays sont dépourvus de réglementation sur la qualité de l'air, et lorsqu'il y en a une, les normes nationales et leur application varient considérablement», complète la directrice du département.

Les premières causes de la pollution de l'air sont les moyens de transport, l'industrie, l'utilisation de biomasse ou de charbon dans les cuisines et pour le chauffage, ainsi que les centrales électriques au charbon.

Selon l'OMS, sur les 2 millions de décès, 1,1 million pourraient être évités si les normes étaient respectées. Pour lutter contre la pollution de l'air, l'organisation basée à Genève recommande de développer les transports publics, promouvoir la marche et le vélo, et réduire l’utilisation du charbon dans les centrales thermiques. Mais l’étude publiée aujourd’hui reste incomplète, puisqu’«il manque les chiffres de nombreux pays, comme la Russie et certains pays africains».

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Pollution azotée dans le Pacifique



La Bretagne ne serait pas la seule à souffrir des nitrates.

Selon une étude publiée dans la revue Science Today et basée sur 30 années de données, les niveaux de nitrate seraient en plein essor en mer de Chine, au large du Japon et de la péninsule de Corée. Les scientifiques attribuent ce pic de nitrate aux pollutions azotées et souhaitent alerter sur le fait que cette pollution, atmosphérique à la base, pourrait avoir des conséquences néfastes sur toute l’écologie marine, en provoquant des phénomènes de blooms algaux ou en appauvrissant en oxygène les océans.

Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques américains et sud-coréens ont analysé des échantillons d’eau prélevés entre les années 1980 et 2000 sur 4 sites différents répartis sur la côte est de la Chine, soit la mer Jaune, la mer du Japon et l’est de la mer de Chine. Ils ont relevé les taux d’azote et de phosphate à différentes profondeurs, puis ils ont comparé ces concentrations océaniques avec celles de l’atmosphère.

Ainsi les concentrations en nitrate dans cette région ont quadruplé en 25 ans. L’actuelle concentration serait 30 fois supérieure à celle du golfe du Mexique. Les chercheurs ont montré que si la pollution azotée a augmenté, les océans de la région se sont également enrichis en azote au détriment des phosphates. Cette évolution dans la composition des substances nutritives disponibles pourrait favoriser les organismes marins préférant les environnements riches en azote et pauvres en phosphate.

Etonnés par le fait que de si larges zones soient affectées par cette pollution, les scientifiques ne veulent pointer du doigt aucun pays en particulier mais font remarquer que la zone étudiée se situe le long de la Chine. Pendant toute la période qu’a duré l’étude, la région a connu un fort développement économique ainsi qu’une augmentation importante de sa population, particulièrement en Chine, ce qui a entrainé une augmentation de la pollution azotée due au dioxyde d’azote provenant des carburants et à l’agriculture.

Actuellement les scientifiques essaient de mettre en place, à l’échelle du globe, un réseau de capteurs mesurant en continu l’impact de la pollution atmosphérique sur les nutriments des océans, tout en évaluant leur acidification et les stocks d’oxygène.

«Il est navrant de constater que ces données manquent cruellement pour les océans du monde entier», explique James Galloway de l’université de Charlottesville en Virginie. Un suivi dont pourrait bénéficier la Bretagne par exemple...

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Une journée contre les monocultures



Le 21 septembre, les Amis de la terre international (AT) célèbrent avec d’autres associations la «Journée internationale contre les plantations monocultures». Objectif: mettre en avant les impacts négatifs sur l’environnement et les communautés locales de ces pratiques agricoles à grande échelle.

La conversion rapide des forêts tropicales en plantations pour la production de bois affecte directement la biodiversité et n’est pas une solution au changement climatique, rappelle l’ONG qui cite une étude publiée dans la revue Nature le 14 septembre dernier.

Or, en Asie et en Afrique, les plantations de palmiers à huile destinés entre autres à la production d’agrocarburants ne cessent de gagner du terrain. En Amérique latine, les champs d’eucalyptus se multiplient, pour l’exportation. La superficie des forêts plantées est donc en pleine croissance. Elles représentent aujourd’hui 5% des forêts et vont continuer à s’étendre. A l’origine de l’expansion de ces monocultures se trouve le «consumérisme à outrance», selon les AT.

«A la place des plantations, nos groupes locaux proposent une gestion communautaire et des pratiques agro-écologiques et forestières qui permettent aux communautés de reprendre le contrôle de leur territoire», indique Isaac Rojas, coordinateur du programme Forêts et biodiversité des AT.

En effet, les plantations sont en train de devenir la nouvelle forme «d'accaparement des terres» par les entreprises transnationales qui n’hésitent pas à menacer les communautés locales qui refusent de se joindre à leurs projets, précise Kirtana Chandrasekaran, co-coordinatrice du projet Droits fonciers.

Pour remédier à la situation, il faudrait que les Nations unies cessent de faire l’amalgame entre forêts et plantations humaines. En effet, «la définition de la forêt donnée par l’organisme international inclut les plantations. Mais ces dernières ne sont pas des forêts car elles n’ont pas leur biodiversité et n’offrent rien aux populations indigènes», rappelle Sebastian Valdomir, coordinateur du programme Justice économique.

Un motif de satisfaction. Chaque année, 13 millions d’hectares sont encore déforestés, mais ce chiffre est en diminution de 19% depuis le début du siècle. Certes, le reboisement progresse. Mais la plupart du temps, c’est pour constituer des monocultures au détriment de forêts anciennes, dont la biodiversité est l’une des plus grandes richesses.

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vendredi 23 septembre 2011

La Chine durcit ses normes anti-pollution



Beijing a confirmé, ce jeudi 22 septembre, que les nouvelles normes anti-pollution seraient bien effectives à partir du 1er janvier prochain, en remplacement des textes en vigueur depuis 2003. Les industries émettrices, et notamment les compagnies de production d’électricité, devront réduire leurs rejets de dioxyde de soufre, d’oxydes d’azote et surveiller leurs rejets de mercure.

«Avec ces nouveaux standards, précise à China Daily, Wu Xiaoqing, vice-ministre de l’environnement, le seul secteur de l’électricité va réduire de 5,8 millions de tonnes ses émissions de dioxyde d’azote et de 6,18 millions de tonnes ses rejets de dioxyde de soufre d’ici 2015.»

Selon des estimations produites par le ministère chinois de l’environnement, l’industrie lourde devra investir 260 milliards de yuans (26 milliards d’euros) pour se conformer à la nouvelle norme.
Fin 2010, la capacité installée chinoise atteignait 962 gigawatts (plus de 8 fois la puissance du parc installé en France). La même année, les centrales thermiques ont brûlé 1,6 milliard de tonnes de charbon.

jeudi 22 septembre 2011

Les rejets de la marée noire de BP



On l’oublie trop souvent, la marée noire produite par l’explosion de la plate-forme Deepwater Horizon n’a pas seulement pollué le golfe du Mexique et son littoral.

Pour réduire le volume de brut, les sauveteurs ont procédé à de nombreux brûlages des hydrocarbures flottant à la surface de l’Atlantique. Ce qui n’a pas manqué d’envoyer dans les airs d’importantes quantités d’aérosols.

Pour les évaluer, l’administration américaine de l’atmosphère et de l’océan (la Noaa, selon l’acronyme anglais) a dépêché sur zone l’un de ses avions bourrés de capteurs.

Décortiqués par les chercheurs, les résultats de ces examens on air sont diablement intéressants. Dans un article publié sur le site des Geophysical Research Letters, une dizaine de chercheurs estiment que 5% environ du brut flottant a été brûlé par les sauveteurs.

Ces combustions ont produit d’importantes volutes de suies (black carbon), dont le volume est estimé entre 630 et 2.000 tonnes. Ce qui représente, à peu près, les rejets de suies de tous les navires croisant dans ces eaux durant 9 semaines.

Par sa capacité à absorber l’énergie solaire, ce genre de suies de combustion est un important contributeur au réchauffement climatique, même si l’importance de son impact radiatif fait encore débat au sein de la communauté scientifique.

mercredi 21 septembre 2011

الجيش الوطني يقوم بحملة تحسيسية لتنظيف ولاية تونس



ـأطلقت وزارة الدفاع الوطني منذ بداية الاسبوع الجاري حملة تحسيسية بولاية تونس لتنظيف الساحات والشوارع
العامة وجمع ركام مواد البناء والاتربة وجهر مجاري الاودية

وافاد العقيد الصحبى السعيدى رئيس مصلحة الهندسة لجيش البر انه على اثر تراكم فضلات مواد البناء على مستوى مفترقات محول ميتيال فيل واريانة المطار وراس الطابية قررت وزارة الدفاع الوطني تنظيم حملة لرفع هذه الاتربة ونقلها الى المصبات الخاصة بذلك.

واضاف ان هذه البادرة تندرج فى اطار العناية بالبيئة وسلامة المحيط وحماية المناطق من مياه الامطار وجهر مجارى الوديان داعيا كافة المواطنين الى ضرورة الوعى وتحمل المسوءولية ومعاضدة جهود وحدات الجيش الوطني لضمان محيط بيئى نقى .

Actions de nettoyage dans des dizaines de villes..et dans ton quartier !



Le Dimanche 25 septembre TUNISIE PROPRE VOUS INVITE à une journée
"Pays Propre" dans 15 villes (voir le dernier lien si ce n'est pas chez vous)

à : Manouba: https://www.facebook.com/event.php?eid=255009581206511
Nabeul : https://www.facebook.com/event.php?eid=265502660135972
Bizerte : https://www.facebook.com/event.php?eid=267308379965397
La Marsa http://www.facebook.com/event.php?eid=179602202107380
A Hammam Lif : http://www.facebook.com/event.php?eid=183223471739716
EL MANAR : https://www.facebook.com/event.php?eid=262024953818854
1 collége : https://www.facebook.com/event.php?eid=193370894069471
Tunis Cité Zouhour https://www.facebook.com/event.php?eid=271752536182959
A Gabes : http://www.facebook.com/event.php?eid=200815243306955
A Mezzouna : http://www.facebook.com/event.php?eid=268985629783180
A Djerba : http://www.facebook.com/event.php?eid=208104572575963
A Hammamet : http://www.facebook.com/event.php?eid=197988273595284
A Midoun Djerba : http://www.facebook.com/event.php?eid=273443246005298
A Rades - Cité olympique : http://www.facebook.com/event.php?eid=215967745116673
Kélibia : http://www.facebook.com/event.php?eid=179760362091052
A Monastir : http://www.facebook.com/event.php?eid=147857301960214
Au Kram : http://www.facebook.com/event.php?eid=112357478862480
Sousse : http://www.facebook.com/event.php?eid=138300246257282
Dans ton quartier : https://www.facebook.com/event.php?eid=143131782441251

MOBILISONS NOUS !

A chacun ses moyens, ses initiatives ! Soyons inventifs là où nous vivons !
Cela peut etre d'inviter son voisin à nettoyer sa rue....TOUT SIMPLEMENT !

PRECISONS que cette action n'est organisée par aucune association...ou autres regroupements...juste des citoyens qui veulent faire avancer les choses ! Faire de cette journée une journée où nous montrons quelle que soit notre lieu d'habitation que nous voulons un pays propre !

Campagne de Nettoyage entre amis, voisins, bénévoles

mardi 20 septembre 2011

مواعيد التظاهرات البيئيّة



فيفري 22: اليوم العالمي للمناطق الرطبة
مارس21 : اليوم العالمي للغابات
مارس 22: اليوم العالمي و الوطني للإقتصاد في الماء للماء
أفريل 07: اليوم العالمي للتحكم في الطاقة
أفريل22 : اليوم العالمي للأرض
أفريل23 : اليوم الوطني للجمعيات
ماي 11,10: اليوم العالمي للطيور المهاجرة
ماي12 : اليوم الوطني للفلاحة
ماي 22: اليوم العالمي للتنوع البيولوجي
جوان5 : اليوم العالمي و الوطني للبيئة
جوان8 : اليوم العالمي للمحيطات
جوان11 : اليوم الوطني للنظافة و العناية بالبيئة
جوان 17: اليوم العالمي لمقاومة التصحر
سبتمبر16 : اليوم العالمي لحماية طبقة الأوزون
سبتمبر22 : اليوم العالمي بدون سيارة
سبتمبر30 : اليوم العالمي للبحر
أكتوبر4 : اليوم العالمي للحيوانات
ثاني أحد من شهر نوفمبر : العيد الوطني الشجرة
أكتوبر14 : اليوم العربي للبيئة
ديسمبر8 : اليوم العالمي للمناخ
ديسمبر11 : اليوم العالمي للجبال

Journal de l'environnement - 18 septembre 2011




Accéder au site de Fréquence Terre


Ecoutez la chronique
« Le journal de l environnement du 18 septembre 2011»
de FREQUENCE TERRE

Les Journées Internationales de Biotechnologie 2011


L’Association Tunisienne de Biotechnologie
Hôtel RIU Bellevue Park El Kantaoui, Sousse
19-22 Décembre 2011

Thèmes scientifiques essentiels :
  1. Biotechnologie industrielle : enzyme, microorganismes, bioprocédés, molécule bioactives
  2. Biotechnologie de l’environnement : bioénergie, bioremédiation et phytoremédiation, traitement et valorisation des déchets.
  3. Biotechnologie végétale : diversité génétique, contraintes environnementales et amélioration des plantes, interaction plante – microorganismes
  4. Biotechnologie de la santé : vaccin, diagnostics et molécules actives.
  5. Valorisation et propriété intellectuelle en biotechnologie. Pour ce thème, seules des communications qui concernent des brevets seront acceptées. D’autres contributions concernant des «starts–up» innovateurs; la valorisation ou la propriété intellectuelle en biotechnologie peuvent être aussi considérés
Programme : Conférences plénières, communications orales et communications par affiches. Un nombre limité de communications seront sélectionnées pour être présentées sous forme de conférence  thématique introductive de 20 min. Ce type de conférence est réservé pour des enseignants-chercheurs ou des post-doctorants.
Date limite : Le 15 Octobre 2011 pour les deux types de communications orales et posters.
Langue : La langue officielle est le français, les résumés ainsi que les présentations en anglais sont également acceptés. 

Pour plus d’informations :
http://www.atbiotech.rnrt.tn/

lundi 19 septembre 2011

Réduire les émissions de GES des déchets municipaux



Il est possible de diminuer significativement les émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur des déchets municipaux. Un rapport de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) publié le 29 août 2011 explique comment l'émission de 78 millions de tonnes[1] d’équivalent CO2 (CO2eq.) pourrait être évitée d’ici 2020 par les 27 pays membres de l’Union européenne[2].
La masse de déchets générés par citoyen ne cesse d’augmenter en Europe. De 468 kg de déchets ménagers produit par citoyen et par an en 1995, nous sommes passés à 524 kg en 2008. On risque d’être à 558 kg en 2020 si aucune politique efficace n’est mise en œuvre, estime l’agence.
Les déchets biodégradables envoyés en décharge produisent du méthane lorsque les matériaux organiques se décomposent. Si une partie de ce gaz peut être captée et utilisée pour produire de l’énergie, une grande quantité s’échappe dans l’atmosphère, ce qui n’est pas sans effet sur le climat. Le méthane, principal composant du biogaz de décharge, ayant un pouvoir de réchauffement global 25 fois supérieur à celui du CO2.
Le rapport de l’AEE se base sur une approche «cycle de vie» pour calculer les émissions des déchets, en y intégrant les émissions directes et indirectes, comme celles imputables au transport. Le calcul prend également en compte les émissions évitées lorsqu’on substitue des déchets à des combustibles fossiles. «Recycler des matériaux issus des déchets municipaux permet d’éviter les émissions qui auraient été générées par l’extraction et le traitement des matières premières. Ces émissions évitées sont plus importantes que les émissions causées par le processus de recyclage», précise l’AEE.
Les trois scénarios proposés montrent que les économies potentielles de GES dépendent largement de la manière dont les Etats membres appliquent les politiques européennes en matière de déchets, en particulier la directive sur la mise en décharge des déchets de 1999.
L’un de ces scénarios étudie les conséquences de l’interdiction de la mise en décharge. En pareil cas, les émissions pourraient être réduites de 78 millions de tonnes de CO2éq. en 2020, comparé à 2008.
Ce qui est encourageant, note l’Agence, c’est de constater que l’Union européenne a recyclé 17% de ses déchets municipaux solides en 1995 et 40% en 2008. Corrélativement, la quantité de déchets mise en décharge est passée de 68% à 40%. «Ces améliorations ont déjà permis de diviser les émissions annuelles nettes de GES de 48 millions de tonnes de CO2éq. entre 1995 et 2008 en Europe», remarque-t-elle.
Dans la majorité des pays européens, la plus grande fraction de déchets municipaux solides est constituée de restes de nourriture et de déchets verts. Ce qui représente une opportunité de choix pour réaliser des économies. En 2008, 44 millions de tonnes de matières organiques ont été compostées, ce qui a provoqué l’émission de 1,4 million de tonnes de CO2éq. Si ces matières avaient été soumises à la digestion anaérobie (en l’absence d’oxygène) pour produire du biogaz, l’émission de 2 millions de tonnes de CO2éq. auraient pu être évitée.


[1] soit 1,53% des émissions européennes en 2008
[2] Sauf Chypre, mais y compris la Norvège et la Suisse

dimanche 18 septembre 2011

حملة النظافة سيدي زندين: 18سبتمبر 2011


.نظمت لجنة العمل التطوعي لبلدية دار شعبان  الفهري و لجنة النظافة و العناية بالبيئة اليوم 18 سبتمبر 2011 حملة نظافة وتهيئة للمنطقة.


كان يوم تطوعي ممتاز شارك فيه اهالي الحي بسواعدهم كما ساهمواببعض الماكولات و المشروبات فجسدوا مفاهيم التعاون والتضامن بين المواطين و المجلس البلدي وهذا تقليد جديد لم نعهده ايام المخلوع فشكرا جزيلا لكل من شارك من قريب أو بعيد في هذا العمل التطوعي.



samedi 17 septembre 2011

حملة التوعية و النظافة "صفاقس المزيانة": السبت 24 سبتمبر 2011 بمنتزه الطفل و العائلة بباب الجبلي




 تنظم  جمعية  "صفاقس المزيانة"، كما عودتنا، حملة التوعية و النظافة بمدينة صفاقس. و قد تمّ الإختيار هذه المرة على منتزه الطفل و العائلة بباب الجبلي.


منتزه الطفل و العائلة بباب الجبلي فضاء جميل و واسع و في موقع رائع، إلّا أنه مهمَل و غير مستَغَل من قبل المواطنين. لذا تدعو جمعية  "صفاقس المزيانة" كافة المواطنين للمشاركة في هذه الحملة لكي نضفي معا جمالية على منطقة باب الجبلي.
الحملة ستكون بمشيئة الله يوم السبت 24 سبتمبر 2011 على الساعة الخامسة مساءًا بمنتزه الطفل و العائلة  بباب الجبلي

Examen de la coopération environnementale entre la Tunisie et la BERD



Les opportunités de coopération dans les secteurs agricole et environnemental ont fait l'objet d'une séance de travail tenue, mardi 13 Septembre 2011, à Tunis, entre les responsables du secteur de l'environnement et des cadres de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

La séance a permis de prospecter les opportunités de coopération entre la Tunisie et la BERD ainsi que les principaux projets et programmes susceptibles d'être soutenus par la Banque, dans les domaines de l'assainissement, la gestion et la valorisation des déchets, la protection et l'aménagement de territoire, l'efficacité énergétique, la protection du littoral, l'encouragement du secteur privé.
Cette rencontre a porté sur les opportunités offertes par la Banque en matière de financement de projets environnementaux et agricoles, tout en tenant compte des priorités et des spécificités locales de notre pays.
M. Salem Hamdi, secrétaire d'Etat chargé de l'environnement, a passé en revue les projets proposés au financement notamment pour la gestion des déchets, la préservation des milieux naturels et des ouvrages environnementaux.

حملة نظافة تطوعية لمتساكني طريق تنيور بصفاقس


بمناسبة العودة المدرسية، ينظم أهالي طريق تنيور بالتعاون مع بلدية صفاقس، حملة نظافة هامة من القاصة رقم 5 الى حدود القاصة الحزامية (حزام بورقيبة) وذلك يوم الأحد 18 سبتمبر 2011 بمشاركة عدد كبير من المتطوعين من أبناء المنطقة.
إن هذه البادرة التطوعية تأتي لتعبر عن التفاف أبناء المدينة حول منطقتهم وتطوعهم لفائدة نظافتها وعيا منهم بأهمية تفعيل دور مختلف مكونات المجتمع المدني للمساهمة في تحسين الوضع البيئي بمدينة صفاقس.


Kef : Le projet tuniso-japonais de développement forestier se poursuivra jusqu’en 2015


Le projet tuniso-japonais de gestion intégrée des forêts dans la région du Kef a permis de réaliser, depuis 2010 jusqu’à présent, le renouvellement de 1500 ha de forêts de pin d’Alep et l’allègement de mille ha.
Les actions ont, également, englobé la plantation de 500 ha d’arbres fourragers et le boisement des bordures des oueds sur 120 ha pour prévenir l’érosion.

Le programme a contribué, par ailleurs, à l’aménagement d’une réserve naturelle à Saddine et au lancement d’un groupement de développement. D’un coût estimé à 5 millions de dinars, le projet tuniso-japonais devra se poursuivra jusqu’en 2015. Il a pour objectifs la gestion durable des forêts, la sauvegarde de la biodiversité et l’amélioration des conditions de vie des populations dans les zones forestières, à travers le renforcement des sources de revenu et la réconciliation de ces populations avec leur environnement.